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- Oct 3, 2024
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Prénom, Nom : Patrick Fertzik
ID en jeu : 39673
Sexe : Homme
Age : 20 ans
Nationalité : Américain
Date de naissance : 10 juin 2004
Lieu de naissance : Los Santos
poids 92 kg
Taille : 1,92 m
Couleur des yeux : Marron
Couleur des cheveux : Noir
Points forts : Agile de la gâchette, la manipulation est son point fort
Points faibles : Vitesse excessivement grande à bord d'une voiture, n'a aucun regret sur tout ce qu'il entreprend même les mauvaises choses.
Quelle est votre histoire? :
Patrick Fertzik a grandi dans un quartier difficile, où la violence était omniprésente, et la pauvreté formait le quotidien. La mort de sa mère a été un tournant brutal dans sa vie. C’était une après-midi ordinaire jusqu'à ce qu'une descente de police dans une ruelle proche se transforme en chaos. Les sirènes hurlantes, les cris de panique, puis les détonations sèches des armes à feu... La scène s'est déroulée en quelques secondes, mais pour Patrick, le monde s'est figé dans un silence glacial, interrompu par le bruit sourd du corps de sa mère tombant au sol.
Elle n'était pas une cible, juste une passante. Une balle perdue, un destin volé. Les autorités ont parlé d'une "opération mal préparée", d'une "erreur regrettable", mais pour Patrick, c’était la trahison ultime. La justice qu’on lui avait enseignée à l’école n'existait pas dans les rues où il vivait. Là-bas, c’était la loi du plus fort, la loi de ceux qui possèdent les armes et l'argent.
Sans elle, Patrick s’est retrouvé seul, livré à lui-même. Son père, déjà absent de sa vie, est devenu un fantôme, sombrant dans l'alcool et la dépression. Il a dû se débrouiller seul, apprendre rapidement que la survie passait par la capacité à imposer sa volonté dans un monde sans pitié. Chaque jour était une lutte, chaque nuit un rappel de l'injustice qui régnait.
Au début, Patrick tentait de rester à l'écart des problèmes, espérant que la société qui lui avait pris sa mère pourrait, d'une manière ou d'une autre, lui offrir une chance de s'en sortir. Mais à chaque nouvelle déception, chaque nouvelle humiliation, il sentait cette colère sourde grandir en lui. Bientôt, il a compris que pour ne pas être écrasé, il devait lui-même devenir fort, apprendre à jouer le jeu du pouvoir.
À l’adolescence, il s’est retrouvé attiré par les cercles les plus sombres de son quartier. Les gangs, la criminalité, tout ce qu’il avait essayé de fuir devenait maintenant sa réalité. Ce n’était pas un choix, c’était la seule option qui s’offrait à lui. Il a commencé à voir le monde à travers le prisme de la force brute : ceux qui commandent et ceux qui obéissent. Ceux qui survivent et ceux qui tombent. La justice, pensait-il, n’était qu’un prétexte pour masquer les vraies dynamiques de pouvoir.
Au fil du temps, il a appris à naviguer dans cet environnement dangereux. Les lois de la rue étaient simples : la loyauté envers ceux qui pouvaient vous protéger et une méfiance absolue envers tout le reste, surtout les autorités. Dans cet univers impitoyable, Patrick a découvert un sens de l'ordre qui, bien que cruel, avait une logique que la société "civilisée" ne pouvait jamais atteindre.
Il est devenu un homme forgé par la rue, un survivant. Ses cicatrices, tant physiques qu'émotionnelles, racontaient une histoire de résistance contre un monde qui n’avait rien voulu lui donner. Et même si la douleur de la perte de sa mère ne l’a jamais quitté, elle est devenue le moteur de sa détermination : il ne serait plus jamais une victime, il ne ferait plus jamais confiance à un système qui l’avait trahi.
Ainsi, Patrick Fertzik n'était pas juste un produit de son environnement, mais un symbole vivant de la brutalité d'un monde où la justice est une chimère, et la survie, la seule loi véritable.
D'où vient votre personnage ? : J'ai grandi dans la rue, entouré de violence, de mensonges, de trahisons. J'ai vu des choses que personne ne devrait voir, mais chaque coup m'a renforcé. J'ai appris à ne pas avoir peur, à prendre des décisions froides et rapides. À survivre à tout prix.
Pourquoi voulez-vous devenir corrompu? : Quand j'ai rejoint le FIB, je savais exactement ce que je voulais faire. Pas protéger et servir. Non, j’ai appris que ceux qui prétendent servir sont les pires. J'ai infiltré l'organisation pour mon propre intérêt, pour ma vengeance. Être corrompu n'est pas un choix pour moi, c'est une nécessité, une manière de rétablir l'équilibre, de faire payer ceux qui m'ont volé ma famille, ma vie.
Que feriez vous en tant qu'employé corrompu d'une organisation officielle ? : Manipuler les nominations et promotions internes, intimider ou faire pression sur les opposants, semer la discorde, saboter les enquêtes et procès, s'allier aux groupes criminels, exploiter des failles légales, corrompre des collègues, falsifier des informations sensibles.
ID en jeu : 39673
Sexe : Homme
Age : 20 ans
Nationalité : Américain
Date de naissance : 10 juin 2004
Lieu de naissance : Los Santos
poids 92 kg
Taille : 1,92 m
Couleur des yeux : Marron
Couleur des cheveux : Noir
Points forts : Agile de la gâchette, la manipulation est son point fort
Points faibles : Vitesse excessivement grande à bord d'une voiture, n'a aucun regret sur tout ce qu'il entreprend même les mauvaises choses.
Quelle est votre histoire? :
Patrick Fertzik a grandi dans un quartier difficile, où la violence était omniprésente, et la pauvreté formait le quotidien. La mort de sa mère a été un tournant brutal dans sa vie. C’était une après-midi ordinaire jusqu'à ce qu'une descente de police dans une ruelle proche se transforme en chaos. Les sirènes hurlantes, les cris de panique, puis les détonations sèches des armes à feu... La scène s'est déroulée en quelques secondes, mais pour Patrick, le monde s'est figé dans un silence glacial, interrompu par le bruit sourd du corps de sa mère tombant au sol.
Elle n'était pas une cible, juste une passante. Une balle perdue, un destin volé. Les autorités ont parlé d'une "opération mal préparée", d'une "erreur regrettable", mais pour Patrick, c’était la trahison ultime. La justice qu’on lui avait enseignée à l’école n'existait pas dans les rues où il vivait. Là-bas, c’était la loi du plus fort, la loi de ceux qui possèdent les armes et l'argent.
Sans elle, Patrick s’est retrouvé seul, livré à lui-même. Son père, déjà absent de sa vie, est devenu un fantôme, sombrant dans l'alcool et la dépression. Il a dû se débrouiller seul, apprendre rapidement que la survie passait par la capacité à imposer sa volonté dans un monde sans pitié. Chaque jour était une lutte, chaque nuit un rappel de l'injustice qui régnait.
Au début, Patrick tentait de rester à l'écart des problèmes, espérant que la société qui lui avait pris sa mère pourrait, d'une manière ou d'une autre, lui offrir une chance de s'en sortir. Mais à chaque nouvelle déception, chaque nouvelle humiliation, il sentait cette colère sourde grandir en lui. Bientôt, il a compris que pour ne pas être écrasé, il devait lui-même devenir fort, apprendre à jouer le jeu du pouvoir.
À l’adolescence, il s’est retrouvé attiré par les cercles les plus sombres de son quartier. Les gangs, la criminalité, tout ce qu’il avait essayé de fuir devenait maintenant sa réalité. Ce n’était pas un choix, c’était la seule option qui s’offrait à lui. Il a commencé à voir le monde à travers le prisme de la force brute : ceux qui commandent et ceux qui obéissent. Ceux qui survivent et ceux qui tombent. La justice, pensait-il, n’était qu’un prétexte pour masquer les vraies dynamiques de pouvoir.
Au fil du temps, il a appris à naviguer dans cet environnement dangereux. Les lois de la rue étaient simples : la loyauté envers ceux qui pouvaient vous protéger et une méfiance absolue envers tout le reste, surtout les autorités. Dans cet univers impitoyable, Patrick a découvert un sens de l'ordre qui, bien que cruel, avait une logique que la société "civilisée" ne pouvait jamais atteindre.
Il est devenu un homme forgé par la rue, un survivant. Ses cicatrices, tant physiques qu'émotionnelles, racontaient une histoire de résistance contre un monde qui n’avait rien voulu lui donner. Et même si la douleur de la perte de sa mère ne l’a jamais quitté, elle est devenue le moteur de sa détermination : il ne serait plus jamais une victime, il ne ferait plus jamais confiance à un système qui l’avait trahi.
Ainsi, Patrick Fertzik n'était pas juste un produit de son environnement, mais un symbole vivant de la brutalité d'un monde où la justice est une chimère, et la survie, la seule loi véritable.
D'où vient votre personnage ? : J'ai grandi dans la rue, entouré de violence, de mensonges, de trahisons. J'ai vu des choses que personne ne devrait voir, mais chaque coup m'a renforcé. J'ai appris à ne pas avoir peur, à prendre des décisions froides et rapides. À survivre à tout prix.
Pourquoi voulez-vous devenir corrompu? : Quand j'ai rejoint le FIB, je savais exactement ce que je voulais faire. Pas protéger et servir. Non, j’ai appris que ceux qui prétendent servir sont les pires. J'ai infiltré l'organisation pour mon propre intérêt, pour ma vengeance. Être corrompu n'est pas un choix pour moi, c'est une nécessité, une manière de rétablir l'équilibre, de faire payer ceux qui m'ont volé ma famille, ma vie.
Que feriez vous en tant qu'employé corrompu d'une organisation officielle ? : Manipuler les nominations et promotions internes, intimider ou faire pression sur les opposants, semer la discorde, saboter les enquêtes et procès, s'allier aux groupes criminels, exploiter des failles légales, corrompre des collègues, falsifier des informations sensibles.